:: Scénarios
(F) NATALIE DORMER • ALCYONE PARKINSON (libre)
Né-moldu
Crédits : zuz' (ava) ambrose (sign)
Messages : 469
Multicompte : Azraël Rosier
Sang : Né moldu, le sang plein de crasse et de haine. Vient de retrouver sa magie, sans la comprendre
« Alcyone Parkinson»
les plus belles roses ont les plus cruelles épines
possessive | rancunière | orgueilleuse | indépendante |
sportive | caractérielle | moqueuse | fidèle aux siens |
Chronologie | Anecdotes + Puissance, richesse. Tant de traits qui auraient dû appartenir à la sang pur, qui aurait dû lui offrir un statut de princesse. Mais il y avait lui, cet idiot que les Parkinson détestent car il leur a volé leur puissance. Le grand père oublié de tous. Il a tout joué et les a laissé sur la paille. Obligés de sauvegarder les apparences. Obligés de s'incliner. Jamais plus. +Entrée à Poudlard. Tête haute, puissance dans les veines. Les aigles qui les accueillent, si différents des Serpents. Les Parkinson jouent aux dieux. Mentent leur origines, mentent sur l'argent. Jurent que leur grand-père n'a pas tant dilapidé la fortune. Font taire les autres sangs-purs. On leur a toujours apprit à être ainsi. +Garce au coeur froid, sourire flottant aux lèvres. Populaire, puissante. Elle a toujours un sourire aux lèvres la Parkinson. Elle qu'on commence déjà à comparer aux roses. Elle qui joue déjà de sa beauté. Elle qui doit pourtant suivre son frère. Elle qui choisit, étrangement, les bleus plutôt que les verts. Car elle veut jouer sans être vendue par sa maison. Le choixpeau hésite, comprends. L'envoie chez ceux qu'elle préfère. Son coeur balançait, elle décide pour lui. Veut s'éloigner d'Archibald, pour une seconde. Refuse au dernier moment. Soupir, heureuse, quand finalement il la suit. Le test ultime. La découverte du pouvoir qu'elle pourrait avoir sur lui. Qu'elle oublie. +Archibald. Celui qui était tout. Celui qui avait tout. Celui qu'elle aimait, de ce même amour bien trop incestueux. Celui a qui elle obéissait toujours. Celui a qui elle offrit son âme et son corps. Celui pour qui elle commença un jeu cruel. +Jonathan. L'animal de compagnie, le parfait chien de garde. Archibald jouait en la donnant comme un animal. Elle détestait Jonathan. Elle haïssait son amour trop fade, si différent de la violence du frère. Elle ne voulait plus voir ses yeux bleus, elle ne voulait plus jamais le voir. Et, alors qu'elle écartait les cuisses, elle pensait à Archibald. Elle pensait toujours à Archibald. +Keira apparue comme une délivrance alors qu'elle faisait tomber Jonathan fou d'elle. Alors qu'enfin la Parkinson était libéré de ce morveux, de ce griffon idiot. Elle se croyait libre. Archibald lui fit payer de ne pas avoir gardé Jonathan entre ses griffes. Elle tenta, perdit. Et fit jurer à son frère d'arrêter avec ce lion qui ne leur apporterait rien. Jusqu'à la mort, jusqu'à l'exclusion. Elle regarde Jonathan partir avec un sourire. Enfin elle était libre. Jamais elle ne fut aussi bien enchaînée. + Quidditch. Elle s'oublie dans ce sport si beau qui l'arrache de terre pour enfin quelque heures. Elle découvre les acclamations, différentes, pour la vipère qu'elle était. Ce n'est plus du contrôle, du pouvoir. Mais de l'admiration, réelle, loin des mots doux sifflés seulement pour plaire. Elle aime ça. S’entraîne chaque jours. S'oublie. Revient sur terre dès qu'Archibald l'approche. + La mort. Qui vient sonner aux portes du château. Puis Jonathan qu'on enlève. Keira qui pleure, elle qui ne rassure pas cette fille qui l'a toujours détestée. Oh non, elle est enfin débarrassée pour de bon du griffon alors qu'il part en prison. Alors qu'elle a droit à un dernier regard qu'elle ignore. Archibald lui fait payer. Mais sa violence lui est douceur alors qu'elle se blottit dans les bras de celui qu'elle croit perdre. Qu'elle finit par vouloir perdre. + Ils quittent Poudlard. S'engouffrent dans un stage prestigieux au ministère. Se heurtent à ceux qui savent vraiment qui ils sont. Mais cette fois personne ne rigole. Car les jumeaux ne sont plus des enfants. Sont plus puissants encore que leurs parents et surtout plus revanchards. + Jonathan aurait dû mourir en prison. Il n'aurait jamais dû revenir dans leur vie. Et cette fois, malgré les sourires et la rage en face de lui, Alcyone refuse pour la première fois de n'être que le jouet des jeux cruels de son frère. Il lui fait payer. Elle s'éloigne. Ils se battent, refusent de baisser la tête. Et elle le blesse, sans le faire exprès, bien trop violemment. Marque rouge sur sa peau, imprimé au fer dans son esprit. Elle a levé sa baguette contre son frère et il la rejette, pour la première fois. Alors Alcyone pleure et se bat. Pour mieux vaincre. +Rupture feinte, seulement pour l'officieux. Dans l'officiel, les Parkinson sont toujours alliés. En vérité, Alcyone s'éloigne, avec lenteur et langueur des siens. Et elle se perds, dans des soirées qui n'ont rien de sorcières, dans des nuits qui ont tout de moldus. Mentant sur son identité, cachant sa vérité. Pour mieux oublier qu'en pleine lumière elle est une rose gracile et vénéneuse. Alors que dans l'ombre, elle se fait iris aux lèvres carmines et aux penchants maudits. +Retrouvaille. De Jonathan qui n'a que trop changé. De celui qui veut la tuer, qui a attaqué la princesse fiancée à son frère. Ils se voient, se détruisent pour mieux s'aimer dans l'espace d'une nuit. Jonathan est devenu Archibald dans la violence mais il a toujours cette faiblesse. Qu'elle hait car elle ne peut revoir son frère. Qu'elle hait car il ne lui rappelle pas assez de souvenir. |
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BELLUM SANGUIS
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