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Delicate flower | Themis

Themis Greengrass
I've a gentleheart
I've a gentleheart

Themis Greengrass


Crédits : loudsilence (avatar), magma (sign), jenesaispas & Zuz' (icons)
Messages : 1559
Multicompte : Mary Bloodworth
Sang : Attachement à ce sang magique qu’on dit pur.

   
« Themis Greengrass»
petite citation

   

   

Kate Beckinsale
date et lieu de naissance ⊰ 19 juillet 1985 au manoir Greengrass âge ⊰34 ans nationalité ⊰ britannique origine(s) ⊰anglaise jusqu'au bout des ongles statut civil ⊰ en couple contre l'avis de sa famille avec Azraël Rosier et anciennement fiancée à Filius Nott dans son adolescence profession ⊰libraire chez Fleury & Bott orientation sexuelle ⊰hétérosexuelle nature du sang ⊰ sang aussi pur qu'il est possible de l'avoir Maison à Poudlard ⊰les aigles l'ont accueillit durant sept ans particularités/dons magiques ⊰ A du mettre un terme à une grossesse alors qu'elle avait 17 ans miroir du risèd ⊰ Sa famille unie, heureuse, avec des enfants et au bras de l'homme qu'elle aime épouvantard⊰ un cercueil d'un nourrisson plongeant sous terre.
Crédit avatars : loudsilence

   
douce gentillebienveillante intelligente
souriantecréativeprotectricepacifiste

   
Anecdoctes

   
Dernière-née de sa fratrie, elle n’a que trois ans d’écart avec le premier fils de son frère aîné Henry. Cette faible différence d’âge n’a pas aidé Themis à se sentir accepter et aimer auprès de ses frères à l’exception de Charles.

Themis tombe enceinte d’Azraël Rosier alors qu’elle est âgée de dix-sept ans. Cela éclabousse sa réputation et celle de sa famille. Les tensions montrent entre les Greengrass/les Nott et les Rosiers. Les Greengrass la forcent à avorter. Elle sera traumatisée par son geste.

Themis est une sorcière intelligente et n’exploite pas ses capacités magiques à cause de ses frères. Elle a développé un sentiment de fragilité et de vulnérabilité. Désormais en couple avec Azraël, elle ne peut se défaire de ce sentiment, le sorcier étant bien trop protecteur envers elle.

Malgré son sang pur et sa famille, Themis est relativement tolérante. Si le monde moldu l’effraie et qu’elle ne le comprend pas, elle n’a aucun grief contre les nés-moldus. Cependant, elle n’ira pas d’elle-même vers un né-moldu en dehors de son travail.

   
   
Chronologie

   
19/07/1985 ⊰ naissance de Themis
1989 ⊰Naissance du premier fils de Henry. Charles rentre à Poudlard.
1991⊰Naissance du second fils de Henry.
1995 ⊰Décès du père de Themis de cause naturelle. Henry Greengrass prend la tête de la famille.
1/09/1998 ⊰Themis rentre à Poudlard, elle est envoyé à Serdaigle.
1999 ⊰ Naissance de Prim et sa jumelle, premiers enfants d'Arthur. Themis est en xx année.
Juin 2003 ⊰ Themis est fiancée à Filius Nott. Elle est en fin de cinquième année.
Aout 2004 ⊰ Décès de Mme Rosier. Les jeunes dont Themis vont boire en ville. Elle raccompagne Azraël trop ivre pour le faire lui-même. Ayant un faible pour l'homme et étant elle-même alcoolisé, elle se laisse glisser dans ses bras et s'offre à lui.
Octobre 2004 ⊰ Themis découvre qu'elle est enceinte d'Azraël. Scandale chez les sangs purs. Ses fiançailles sont brisés avec Filius Nott, les Rosier refusent d'assumer. La décision est prise, au vacances de Noël Themis avortera pour éviter l'humiliation.
Novembre 2004 ⊰ Naissance de Nyx Greengrass, fille de Charles.
Noël 2004 ⊰ Themis, accompagné de Charles se rend à St Mangouste pour avorter.
Automne 2005 ⊰hemis effectue un stage au Mangenmagot, elle abandonne au bout de quelques mois.
Janvier 2006 ⊰hemis devient libraire chez Fleury & Bott.
Avril 2019 ⊰ Lors d'une soirée au ministère, Emily Kolsteinsson, sauve Themis de ses frères. Les deux femmes discutent de la situation et Emily tente de convaincre Themis de s'affranchir pour de bon de ses frères.
Lors d'un rassemblement des conservateurs, Themis se retrouve en tête à tête avec Azraël pour la première fois en 15 ans. Le lendemain, il vient la chercher à la boutique et l'emmène voir une pièce de théâtre de Shakespear côté moldu.
24 avril 2019 ⊰ Themis assiste à l'élection de son cousin lointain Hurdon Greengrass à la tête du parti des Conservateurs.
18 juin 2019 ⊰Themis assiste à la conférence de presse organisé par les leaders et le sous secrétaire d'état.
 Juillet 2019  ⊰ Victoire des anarchistes, Themis voit l'indignation et la colère de son clan, impuissante, elle a peur pour la suite.
Portrait Chinois

   
Si j'étais un animal fantastique ? un fléureur
   Si j'étais un sorcier célèbre ? Helena Serdaigle
   Si j'étais un une matière de Poudlard ? Sortilège
   Si j'étais l'une des Reliques de la Mort ? Cape d'invisibilité
   Si j'étais un objet magique ? Déluminateur
   Si j'étais une potion ? amortencia
   Si j'étais un sortilège ? finite incantatem
   Si j'étais un Sortilège Impardonnable ? impero
   Si j'étais un poste au Quidditch ? gardien
   
   


   
Derrière l'écran
Pseudo: Zuz' ou Zuzette pour les intimes⊰ Age: quart de siècle :'( ⊰ Pays/région:Auvergne forever ⊰ Comment as-tu connu le forum: je l'ai créer à askip ⊰ Comment trouves-tu le forum: à mon gout  ⊰ Fréquence de connexion : quotidienne⊰ Mot de la fin:  I love you  Delicate flower | Themis 1219178284
     
BELLUM SANGUIS
Themis Greengrass
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Themis Greengrass


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Sang : Attachement à ce sang magique qu’on dit pur.

   
« Histoire du personnage »
Citation
Naître dans une famille d’hommes, avoir vingt ans de différence avec son frère aîné. Voilà le contexte familial dans lequel je suis arrivée, privant également ma famille d’une mère, qui donna sa vie pour me donner la mienne. Mon père m’accorda à peine un regard avant de s’en aller, laissant mes frères s’occuper du nourrisson que j’étais. Très vite, j’appris à me faire oublier tout comme ne pas décevoir le patriarche de la famille. Mon frère aîné, le plus jeune, Charles était probablement mon meilleur soutien. Bien que huit années nous séparant, il s’était mis en tête de veiller sur moi, de m’accompagner dans la vie, d’être le grand frère protecteur qu’il devait être tandis que les autres avaient mieux à faire. Quand il partit rejoindre les serpents à Poudlard, je n’avais que pour compagnon de jeu que mes neveux dont l’aîné avait tout juste deux ans de moins que moi. Ironie du sort ? Mais j’étais comme ce vilain petit canard, on exigeait beaucoup, je donnais beaucoup, mais je ne recevais jamais rien en retour en dehors des moments où Charles revenait au manoir familial pour les vacances scolaires.

Mon éducation avant Poudlard ne fut guère joyeuse, bien qu’enfant discrète et désireuse de bien faire, on désirât m’oublier, car je rappelais trop le fantôme d’une mère partie trop tôt. Mon cœur de petite fille aurait voulu s’attacher à ce père, à ces frères, mais tout résonnait vide, ils restaient hermétiques à toutes mes tentatives. Alors quand père mourut, aucune larme ne vint couler le long de mes joues pâles, j’avais le cœur serré, et j’étais en deuil, mais cela s’arrêtait là. Je préférais au final serrer la main de Charles plutôt que de verser des larmes qui n’avaient pas de signification à mes yeux. Cette potentielle force de caractère fut saluée par mes trois frères, mais cela ne durerait pas. Henry était devenu mon tuteur légal aux yeux du monde magique, alors je devais tenter de faire de mon mieux pour le satisfaire, mais il préférait s’occuper de ses fils plutôt que de sa petite sœur qui ne lui servirait qu’à conclure une alliance avec une autre famille de sang pur.

La découverte de mes pouvoirs de sorcière se déroula dans l’indifférence la plus totale. J’étais une Greengrass, je ne pouvais être une cracmole alors il était normal que mes pouvoirs s’expriment un jour, il n’y avait rien d’extraordinaire ou de soulagement à y voir. Même ce jour-là, Charles haussa à peine les épaules, guère plus heureux que si on lui annonçait qu’il avait obtenu ses BUSES haut la main. Finalement, je pus quitter cette triste existence de mon enfant lorsque je me rendis à Poudlard. Je devais aller à Serpentard, comme tous ceux de ma famille. Seul Charles n’était pas aveugle, il savait que je n’avais pas l’esprit des serpents. Il me souffla juste d’éviter les lions et les blaireaux. J’avais déjà déçu lors de l’achat de ma baguette, ils avaient espéré qu’une baguette avec du caractère me choisisse, mais le bois d’aulne s’était révélé le meilleur choix. Aux yeux d’Henry, je n’aurais jamais assez de caractère pour briller comme eux trois, mais je pourrais faire une bonne épouse, docile et serviable. Trop jeune pour comprendre, cela m’échappa rapidement. Mais face au choixpeau je me rappelais des mots de mon aîné et je demandais de toutes mes forces Serpentard, pour leur prouver que je n’étais pas celle qu’ils prétendaient que je sois. Mais la voix hurla Serdaigle, une mince consolation, j’avais évité le pire, mais je n’étais pas chez les verts argents. Choses que mes neveux ne se privèrent pas de me rappeler quand ils arrivèrent à leur tour à Poudlard.

Les années passèrent, je ne me révélais pas si idiote que cela, surprenant ma famille. Mes notes étaient plutôt excellentes. J’étais également devenue un petit rat de bibliothèque, mon havre de paix, toujours le nez dans un livre, mes longs cheveux châtains cachant mon visage d’adolescente qui changeait jour après jour pour devenir celui d’une femme. Les garçons commencèrent à s’intéresser à moi pour le nom, le joli minois et le sang pur qui coulait dans mes veines. Je restais assez hermétique à tout cela, sachant très bien que mon frère me fiancerait et que je devais me présenter en blanche colombe. Et ce fut le cas, à l’aube de mon seizième anniversaire avec un homme de trois ans mon aîné qui n’était donc plus à Poudlard et que je ne pouvais pas apprendre à connaître avant de me marier. Ce fut donc entre ma cinquième et sixième année, durant l’été que je pus rapidement le rencontrer. Je n’eus aucun jugement à son égard, il ne me plaisait pas, mais ne me rebutait pas, un sentiment de parfaite neutralité s’était installé dans mon cœur.

Mais tout bascula l’année suivante. Les Rosiers, amis des Greengrass, perdirent l’une des l’heure. Une femme, une épouse, une mère. Les plus âgés restèrent entre eux et les plus jeunes sortir, j’étais désormais majeure et Emily était la fille de la défunte, pour notre amitié, je me devais de rester avec elle, cela convaincu au moins Charles qui s’occupe de convaincre Arthur et Henry. Notre amitié avec la Rosier remontait à quelques années, une rencontre fortuite à la bibliothèque où je dus intervenir, car elle était embêtée par des Gryffondor. Je n’ai pas attendu une seconde, les insultes fusaient et mon cœur trop bon avait pris le dessus pour l’aider et chasser les rouges et or. Ainsi, débuta notre amitié. Elle était différente, des petits soucis psychologiques, mais elle n’en restait pas moins une amie. La soirée fut un peu trop arrosée, je pouvais presque dire qu’il s’agissait de ma première cuite. Mais c’était le cas pour tout le monde, en particulier pour le frère de mon amie, Azraël. Cet homme, je ne le savais pas encore aller changer ma vie, l'a détruire, faire naître l’espoir, la souffrance. J’étais encore en état de marcher sans tituber ce qui n’était pas le cas. Quand Emily partit, je la rassurais en lui promettant de le ramener chez lui en un seul morceau. Ce fut ma première erreur. J’aurais dû partir, mais j’étais attirée par ce sorcier de six ans mon aîné.

Je n’émis aucun jugement sur son état, il était détestable, mais je tins ma promesse et je le ramenais chez lui. Malgré son caractère et son état d’ébriété, il y avait quelque chose qui résonnait en moi, qui vibrait et qui me faisait passer outre. Ma deuxième erreur fut de rester quelques minutes après l’avoir raccompagné. J’étais jeune, innocence, sage, un peu éméchée, il était jeune, complètement saoul et beaucoup trop attirant. Alors quand ses lèvres vinrent se coller aux miennes, mon cerveau se déconnecta. Je m’abandonnais à l’interdit. Ce fut ma troisième erreur. Je n’étais soudainement plus la blanche colombe que je devais être pour l’année d’après. Il prit ce qui appartenait à mon fiancé, mais l’espace d’une nuit, j’oubliais tout. Toutes les règles à suivre, toutes les règles de bonne conduite. La Themis sage avait comme disparu. Et le lendemain matin, c’était trop tard. Je dus inventer un mensonge à la hâte pour expliquer mon absence complète, prétextant que j’avais dormi chez Emily. Mais quelques mois plus tard, ce mensonge éclata.

J’étais retournée à Poudlard depuis un peu plus d’un mois quand je commençais à me sentir mal, je ne pouvais rien avaler sans finir la tête au-dessus des cuvettes des toilettes. Au bout d’une semaine, une de mes camarades, me traîna de force à l’infirmerie. Ce n’était pas normal d’être malade de la sorte, surtout que durant sept ans, je n’étais pas tombée malade en dehors de quelques rhumes passagers. Le verdict fut sans appel, j’étais enceinte. Mon visage s’est décomposée, je suis devenue probablement plus blanche que mon teint pouvait l’être. L’infirmier contacta ma famille, mes frères. Malheureusement, à Poudlard la nouvelle avait fait le tour des rangs. Les noms d’oiseaux ne tardèrent pas, les sangs purs commencèrent à s’amuser me disant que je pouvais bien ouvrir les cuisses pour eux. Les autres ricanaient simplement ou me traiter de trainée. Mais ce n’était rien comparé au fait d’affronter mes trois frères. Henry n’avait jamais levé la main sur moi, ce jour-là, où il arriva à Poudlard pour gérer la situation, la gifle fut si puissante que ma lèvre se fendit. Je n’avais aucune excuse, j’étais coupable et je n’avais rien à dire pour ma défense. Même Charles me regardait de façon dédaigneuse, déçu. Ils ont tout tenté pour étouffer l’affaire, mais c’était trop tard. Les fiançailles furent rompues et l’opprobre jeté sur ma famille. La sentence tomba, si je ne voulais pas tout perdre, je devais avorter. Tuer cet enfant qui grandissait dans mon ventre, j’étais peut-être majeure, mais je n’étais qu’une femme dont la réputation venait de s’effondrer. Arthur tenta de faire porter le blâme au Rosier, en clamant qu’ils n’avaient aucun scrupule à user de l’innocence d’une étudiante pas encore sortie de Poudlard. Cela jeta un froid entre les deux familles, mais le mal était fait.

Ce fut durant les vacances de Noël que je dus faire cet acte que je regretterais toute ma vie. L’infirmier de l’école refusait de prendre le moindre risque en m’administrant la potion qui viendrait détruire l’embryon. J’étais terrifiée, je ne voulais pas faire cela, mon ventre était déjà rond, j’étais à quatre mois de grossesse… Charles ne put se résoudre à me laisser faire cela seule et m’accompagna. Il ne fut pas de la meilleure compagnie, toujours aussi froid, mais il était là, serrant ma main tremblante lorsque que la fiole arriva à mes lèvres et qu’ensuite mon corps commença à travailler pour éjecter le corps sans vie qui se trouvait dans mon ventre. Jamais autant de larmes coulèrent sur mes joues. Culpabilité, souffrance, peur et tristesse.

Le retour à l’école ne fut pas facile, la fin de ma scolarité fut des plus horribles, je m’enfermais dans le dortoir à travailler, encore et encore, m’enfermant dans mes études pour oublier la douleur qui était la mienne et fuir mes camarades. Et malgré tous ces ressentis, toute la souffrance, je n’arrivais pas à en vouloir à cet homme, il hantait encore mon esprit, mais jamais je n’eus une once de colère à son encontre, je me portais en unique responsable de ce qui était arrivé. Je passais mes ASPIC la mort dans l’âme, mais j’obtins les meilleures notes possibles, une faible consolation pour ma famille. Je passais l’été recluse, surveillée tandis que Charles me cherchait un stage pour mon futur, mais je ne rêvais pas d’une grande carrière au ministère. Je passais quelques mois aux magenmagots mais j’abandonnais bien vite provoquant la colère de mes aînés. Finalement, je pris la décision de me diriger vers la seule chose qui apaisait ma peine et mon esprit, les livres. Je me rendis donc jusqu’à Fleury & Bott avec une candidature. Je fus engagée et ma vie put recommencer, retrouver un sens. La naissance de ma nièce aida également, je prenais du temps pour m’en occuper, m’aidant à faire le deuil de la petite fille que je n’aurais jamais eu.

Quand l’affaire s’aplanit, Henry chercha de nouveau à me fiancer, mais en vain, personne ne voulait de moi pour une alliance, pour un mariage arrangé. Il n’y avait que le mariage d’amour qui pouvait me sauver, mais je me montrais méfiante et dans mon esprit un seul homme venait me hanter. Ce sorcier solitaire, cet auror qui brillait de plus en plus. Ce Rosier que mes frères n’appréciaient guère.

Les années passèrent et rien ne changea, je pus me prendre un appartement pour quitter le manoir familial qui devenait étouffant. Le conflit qui rongeait le monde m’inquiétait, mais je restais discrète, sachant que je suivrais l’avis de Charles qui avait réussi à me pardonner au fil des ans.

Et finalement, un élan typiquement gryffondorien s’empara de moi et je bravais l’interdit. L’homme se rapprocha de moi et je l’ai laissé faire, j’ai même accepté de le voir, de nous donner une chance malgré nos familles. Nous nous sommes vus à la plusieurs reprises, flanant dans le monde sorcier et moldus. Les évènements politiques de notre société nous secouèrent, lui comme moi. Nous sommes finalement un couple, au tout début. Azraël a perdu son emploi lors de la réforme de Lovelace, je le vis changer, tout comme la société. Inquiétant. Et au milieu de tout ça, j’essaie de survivre et de garder contact avec Charles qui a mal digéré le fait que j’ai décidé de me vivre mon idylle avec le Rosier...
   
BELLUM SANGUIS